Au bonheur des ogres
Dès 6 ans
Sans doute que la saga Malaussène de Daniel Pennac méritait, au vu de son succès, de passer au cinéma. C’est Nicolas Bary, qui avait déjà réalisé le médiocre « Enfants de Timplebach », qui se colle à ce premier épisode et le résultat est décevant.
Toc
Rien de la magie du livre ne transparait : l’ensemble est à la fois trop appliqué et trop surfait pour être attachant. Tout l’univers foutraque de cette famille atypique fait toc, et cela malgré les efforts louables des acteurs.
Le résumé ? Malaussène travaille dans un grand magasin comme souffre-douleur. Son boulot est atroce mais il ne peut s’en passer, car il est chargé d’élever tous les enfants que sa mère a eu avant de repartir courir le monde. Dans son magasin, les morts tombent comme des mouches. Bien accusé, Malaussène décide d’enquêter, aidé en cela d’une journaliste aux moeurs libérées.
De Nicolas Bary, avec Raphaël Personnaz, Bérénice Béjo, Emir Kusturica, Thierry Neuvic, Mélanie Bernier
2013 – France – 1h32
En partenariat avec Grains de Sel
Les autres films du 16 octobre chroniqués sur cine-woman :
- – 9 mois ferme d’Albert Dupontel
- – Mademoiselle C, documentaire de Fabien Constant
- – Gabrielle de Louise Archambault
- – L’extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S Spivet de Jean-Pierre Jeunet
- – Léo et Fred, film d’animation de Pal Toth
- – Le prince Nezha triomphe du roi Dragon, film d’animation chinois de Wang Chuen
- – Turbo, dessin animé de David Soren