Ma vie, ma gueule
Film posthume de Sophie Fillières, Ma vie, ma gueule raisonne comme son autoportrait testamentaire dont elle a confié l’interprétation à Agnès Jaoui. Bien vu ! C’est l’ouverture de la Quinzaine des Cinéastes 2024.
Film posthume de Sophie Fillières, Ma vie, ma gueule raisonne comme son autoportrait testamentaire dont elle a confié l’interprétation à Agnès Jaoui. Bien vu ! C’est l’ouverture de la Quinzaine des Cinéastes 2024.
Avec Décision to leave, Park Chan-wook réinvente la mise en scène. Il a d’ailleurs reçu le Prix de la mise en scène au 75e Festival de Cannes, une récompense amplement méritée.
Jasmila Zbanic est une des voix les plus courageuses et les plus intéressantes du cinéma actuel. Et une des plus grandes cinéastes contemporaines. Son dernier film, La Voix d’Aïda, qui revient sur les massacres de Srebrenica en juillet 1995, le prouve une fois de plus. Entendez-là !
Un père âgé et en fin de vie demande à l’une de ses filles de l’aider à mourir. Avec Tout s’est bien passé, François Ozon signe son 22ème long métrage et sa 5e sélection en compétition officielle. Plombant.
Avec son deuxième film, Titane, Julia Ducournau frappe tellement fort qu’elle repart du 74e Festival de Cannes avec la récompense suprême. Elle devient ainsi la seconde réalisatrice à remporter la Palme d’or. Brillant !
Le film d’animation, Les hirondelles de Kaboul de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec reviennent sur le régime cruel des talibans en Afghanistan et sur ses désastreuses conséquences. A travers une histoire où tout le monde est coupable. Ambigu.
Le seul film d’une réalisatrice en compétition à la Semaine de la Critique 2019 vient du Costa-Rica. Cendre noire de Sofia Quiros Ubeda met en exergue la beauté de la jungle. Pour le reste…
Les oiseaux de passage, le film de Cristina Gallego et Ciro Guerra revient sur les débuts des cartels de la drogue en Colombie. Cette saga familiale tragique fait l’ouverture de la 50e Quinzaine des Réalisateurs.
Le 22 juillet 2011, la Norvège a été frappée par deux attentats. Une bombe puis un méthodique massacre de jeunes militants de gauche réunis sur une île. Utoya, 22 juillet de Erick Poppe reconstitue cette attaque telle que l’on vécut ces jeunes.
Le 2 mars 1953, dans la nuit, le tyran soviétique est victime une attaque cérébrale sérieuse. Est-il conscient, est-il décédé? La mort de Staline pose plus de problèmes qu’elle n’apporte de solutions. Ce que le film d’Armando Iannucci raconte avec beaucoup d’humour.