L’histoire de l’amour
Grande fresque qui franchit sur plusieurs époques et dans plusieurs pays, L’histoire de l’amour de Radu Mihaileanu est aussi subtil que son titre, mais jamais émouvante. Un comble !
Grande fresque qui franchit sur plusieurs époques et dans plusieurs pays, L’histoire de l’amour de Radu Mihaileanu est aussi subtil que son titre, mais jamais émouvante. Un comble !
C’est une somme, un pavé de près de 1300 pages qui vient combler un manque considérable : celui du rôle qu’ont joué les femmes, les actrices en particulier, durant l’âge d’or hollywoodien. Hollywood – la cité des femmes d’Antoine Sire sort le 26 octobre 2016 en librairie. Cine-Woman a longuement rencontré son auteur au Festival Lumière 2016 à Lyon.
La mélodie du bonheur revient en version restaurée. L’occasion de revoir sur grand écran ce classique de la comédie musicale hollywoodienne porté par le charme et le talent de Julie Andrews.
Catherine Deneuve a été sacrée du Prix Lumière 2016 à Lyon. Une récompense méritée au regard d’une carrière riche et exigeante qu’elle a élégamment dédiée aux agriculteurs français. Quelle audace !
Adèle Haenel s’invite chez les Dardenne. Dans La fille inconnue, leur dizième long métrage de cinéma, elle campe une médecin dévouée jusqu’à l’obsession.
Loïe Fuller a révolutionné la danse au début du XXeme siècle, avant de s’y rompre les os et de s’y brûler les yeux. La danseuse, le premier film de Stéphanie Di Giusto, revient élégamment sur son histoire.
Très chaleureuse, Justine Triet claque la bise et commence par s’intéresser à son interlocuteur avant de répondre généreusement aux questions. Elle est bavarde, m’avait-on prévenu. La réalisatrice de Victoria est surtout intéressante, passionnante et à envie de s’expliquer, de réfléchir. Un peu foutraque aussi et tellement ancrée dans la vie d’aujourd’hui. Comme ses films.
Avec Victoria, son second film, Justine Triet affirme l’acuité de son oeil ancrée dans la réalité des femmes de sa génération. Et elle révèle une Virginie Efira inédite et exceptionnelle.
Léa Garofalo s’est révoltée contre la mafia calabraise. Sa mort en 2009 a tant émue l’Italie que Marco Tullio Giordana lui consacre un film.