Ma fille (Figlia Mia)
Trois ans après Vierge sous serment, Laura Bispuri revient en compétition à la Berlinale 2018 avec Figlia mia (Ma fille), un film intransigeant sur la maternité. Sortie le 27 juin 2018.
Trois ans après Vierge sous serment, Laura Bispuri revient en compétition à la Berlinale 2018 avec Figlia mia (Ma fille), un film intransigeant sur la maternité. Sortie le 27 juin 2018.
Rien que le titre – How to talk to girls at parties? – donne envie. Le nouveau film de John Cameron Mitchell ne tient pourtant pas sa promesse.
Les femmes et le 7ème art, c’est une longue histoire mal connue. Pour l’honorer, Cine-Woman demande à tou(te)s les 5 films de femmes et les 5 rôles féminins qui les ont marqués. Solenn Rousseau, la directrice de l’association Gros plan et programmatrice du cinéma Quai Dupleix à Quimper, nous a confié ses listes.
Trois jours à Quiberon de la franco-iranienne Emily Atef est un film franco-allemand était en compétition à la Berlinale 2018. C’est une audacieuse plongée dans l’ultime interview de Romy Schneider.
Étrange film que la première réalisation de Michèle Laroque. Jusqu’à son titre Brillantissime. Est-ce une incantation ou une provocation ?
Un jeune indien riche tombe amoureux de son employée de maison. Monsieur, la première fiction de Rohena Gera, était en compétition à la Semaine de la Critique et a été primé. Sa sortie est prévue le 26 décembre 2018.
Les femmes et le 7ème art, c’est une longue histoire mal connue. Pour l’honorer, Cine-Woman demande à tou(te)s les 5 films de femmes et les 5 rôles féminins qui les ont marqués. Pierre-Henri Deleau, créateur et délégué général de la Quinzaine des réalisateurs de 1969 à 1998, nous a confié ses listes.
Les femmes et le 7ème art, c’est une longue histoire mal connue. Pour l’honorer, Cine-Woman demande à tou(te)s les 5 films de femmes et les 5 rôles féminins qui les ont marqués. Lidia Terki, la réalisatrice de Paris La Blanche, Prix Alice Guy 2018, nous a confié ses listes.
Avec Mektoub my love : canto uno, Abdellatif Kéchiche interroge le désir et l’incapacité d’y succomber. Passionnant.
Rien n’est jamais banal chez Sophie Fillières et surtout pas la quête de soi. Avec La belle et la belle, elle signe une comédie singulière sur la manière d’ apprendre à être soi-même.