Little go girls
A Abidjan, les prostituées les plus cheaps sont appelées les « go ». Eliane de Latour s’intéresse à leur quotidien et leur consacre un documentaire singulier, Little go girls, un film raté.
A Abidjan, les prostituées les plus cheaps sont appelées les « go ». Eliane de Latour s’intéresse à leur quotidien et leur consacre un documentaire singulier, Little go girls, un film raté.
Le 38e Festival des films de femmes de Créteil s’est achevé samedi 26 mars 2016, sur une note mélancolique mais, comme chaque année, dopée aux nombreux prix et partenariats.
Pourquoi cette Rosalie Blum fait-elle tant de bien? Comédie du quotidien, le premier film de Julien Rappeneau a l’effet d’un bonbon à la sève de pin. Rassurant, sans prétention, mais un peu trop nostalgique pour susciter un réel enthousiasme.
Le 38e Festival de films de femmes de Créteil, qui se déroule du 18 au 27 mars 2016, consacre comme chaque année, la femme au cinéma dans tous ses états.
En Iran, depuis 1979, il est interdit aux femmes de chanter en solo devant un public… non exclusivement féminin. No Land’s song raconte le long combat de la compositrice Sara Najafi pour braver cet interdit.
Souvent, le cinema s’est intéressé à l’immigration vers l’Amérique. Rarement en traçant le parcours d’une jeune femme. Brooklyn de John Crowley comble avec sensibilité ce manque, brillamment interprété par Saoirse Ronan.
Qui sont donc Les Innocentes, ces femmes au lourd secret à qui Anne Fontaine consacre son nouveau film ?
Anéantie par ses échecs amoureux à répétition, la réalisatrice Tatjana Bozic retrouve ses ex éparpillés dans toute l’Europe afin de leur demander pourquoi leur relation a échoué et les filme dans Happily Ever After. Une audace ? Une folie ? Elle s’explique.
Petit budget mais grande idée, ces filles au Moyen-âge dressent un portrait intelligent de la condition féminine à travers les âges. Sans moyen mais avec talent. Brillant!