Lumiere !
En 1895, les frères Lumière ont inventé le cinéma. mais pas seulement. L’exposition Lumière ! le cinéma inventé qui avait débuté au Grand Palais à Paris, retrouve leur ville Lyon, jusqu’au 25 février 2018. Allez découvrir leur génie !
En 1895, les frères Lumière ont inventé le cinéma. mais pas seulement. L’exposition Lumière ! le cinéma inventé qui avait débuté au Grand Palais à Paris, retrouve leur ville Lyon, jusqu’au 25 février 2018. Allez découvrir leur génie !
DalidaL’exposition Dalida, une garde-robe de la ville à la scène présente de nombreuses tenues portées par la chanteuse. Une salle est réservée aux robes qu’elle a portées au cinéma. Du 27 avril au 13 août 2017 au Palais Galliera.
La Cinémathèque française propose Mômes et Cie, une exposition consacrée à l’enfance au cinéma. Ou à l’enfant. Allez savoir. Jusqu’au 30 juillet 2017.
Du 18 octobre 2016 au 8 janvier 2017, agnès b. dévoile une partie de sa collection particulière dans une exposition radieuse qui s’appelle Vivre !!
Quand il étudiait le cinéma dans les années 1950, Carlos Saura s’est servi de la photographie comme « carnet de notes ». Ce travail documentaire titré « Carlos Saura, Espagne années 1950 » est exposé au Didam, à Bayonne jusqu’au 24 avril 2016.
Magnifique exposition sur Michelangelo Antonioni, Aux origines du pop à la Cinémathèque Française à Paris. En quelques séquences pour une fois extrêmement visuelles, l’essence même de l’oeuvre du réalisateur italien saute aux yeux.
Avant d’être célèbres, toutes les stars ont été débutantes sous l’objectif de Marcel Thomas, un paparazzi amateur. L’exposition Déjà Stars revient sur son travail. Passionnant!
C’est ce mercredi 26 juin, à midi que Serge Toubiana, le directeur général de la Cinémathèque Française, a annoncé le programme des festivités à venir après l’été.
La saison reprendra des expositions temporaires reprendra à compter du 25 septembre 2013 par un hommage à Jean Cocteau, à l’occasion des 50 ans de sa mort puis, à partir du 16 octobre 2013, par Pasolini Roma, soit Rome vu par un des artistes les plus controversés du XXème siècle. elle sera bien évidemment accompagnée d’une intégrale de ses films, d’Accatone à Salo.
Mais 2014, c’est aussi et surtout le centenaire d’Henri Langlois, l’infatigable créateur de la Cinémathèque et le père de la cinéphilie française. Plusieurs manifestations le consacreront dont une exposition baptisée Le Musée imaginaire d’Henri Langlois, à partir du 9 avril 2014. Avec évidemment force documents inédits, témoignages…
Autre temps fort, une expoistion là encore, consacrée à Amos Gitaï, architecte de la mémoire, à partir du 26 février, accompagnée là encore de son intégrale filmée.
Quant aux rétrospectives qui sont la base même de la programmation de la Cinémathèque, se succèderont celels consacrées à l’ouvre de :
– Michel Piccoli (du 4 sept au 6 oct 2013)
– Bernardo Bertolucci (du 11 au 29 sept 2013)
– Ethan et Joel Coen (du 2 au 27 oct)
– Roger Allio (du 6 au 19 nov)
– Raymond Depardon (du 14 nov au 1er déc)
– Joao Cesar Monteiro (du 11 au 22 dec)
– Henry Hathaway (du 8 jan au 23 fev 2014)
– Jean-Charles Fitoussi (du 15 au 26 jan 2014)
Et cela avant de célébrer en 2014 Jean Epstein, Caroline Champetier, la Grande Guerre, Ozu ou Charlot, lui aussi né en 1914.
Evidemment, Cine-Woman reviendra sur chacun des évènements en temps voulu, mais comme il n’est jamais déconseillé de rêver un peu…
Bel été d’ici là.
Personne ne savait que Marjane Satrapi, en plus d’être une réalisatrice originale et confirmée –son troisième film, La Bande des Jotas sort le 6 février- , était aussi peintre, même si ce n’est pas très difficile à imaginer.
Pour la première fois, elle dévoie ses toiles au public. Une vingtaine de portraits de femme, seule ou à plusieurs, qu’elle a peint entre 2009 et 2012, sont exposées dans la galerie Jérôme de Noirmont. On saisit immédiatement l’évolution de son travail, les premiers tableaux étant sombres, parfois même en noir et blanc, et finalement proches de ses dessins de Persépolis, tandis que sa production prend, depuis, des couleurs de plus en plus vives, tout en continuant à exprimer une étrange mélancolie.
Visite < 30 mn
Galerie Jérôme de Noirmont – Paris
Jusqu’au 23 mars
©Marjane Satrapi. Courtesy Galerie Jérôme de Noirmont. Paris