Apolonia, Apolonia
Léa Glob, une cinéaste danoise, filme Apolonia Sokol pendant 13 ans et accompagne ainsi l’émergence d’une artiste-peintre féministe de premier plan. Passionnant.
Léa Glob, une cinéaste danoise, filme Apolonia Sokol pendant 13 ans et accompagne ainsi l’émergence d’une artiste-peintre féministe de premier plan. Passionnant.
La note cine-woman : 3/5
Maj, une petite fille dégourdie qui vit avec son oncle, un balaise tatoueur et tatoué, rêve d’une famille normale. Avec un père, une mère, un grand frère et un chien. « Les mômes et les tatouages ne font pas bon ménage », a coutume de répéter Sonny, l’oncle musclé. Fuyant un tatouage raté, ils quittent précipitamment la ville, tous les deux, pour vivre une série d’aventures rocambolesques. Jusqu’à se constituer une famille de cœur.
Dès le départ, ce dessin animé en papier découpé danois rompt avec les codes habituels. Une petite fille et un tatoueur, on n’avait jamais vu ça ! Dommage pourtant qu’au fil de l’aventure, l’histoire rentre dans le rang… pour mieux en ressortir à la toute fin du film. C’est un peu tard, mais la vitalité des personnages et leur look incroyable font oublier les petites errances du scénario et nous aident à sortir des sentiers battus…
2010 – Danemark – 0h45
En partenariat avec Grains de Sel