Ma vie de courgette – Cannes 2016
Quand sa forme rentre en conflit avec son fonds, aussi profond et intelligent soit-il, un film est raté. Dans le cas de Ma vie de courgette de Claude Barras, l’ensemble est surtout choquant. Voilà pourquoi.
Quand sa forme rentre en conflit avec son fonds, aussi profond et intelligent soit-il, un film est raté. Dans le cas de Ma vie de courgette de Claude Barras, l’ensemble est surtout choquant. Voilà pourquoi.
Dofus est une success story française, née à Roubaix, et pour la première fois au cinéma.
Une héroïne pour son premier film, une équipe mixte… Rémi Chayé, le réalisateur de Tout en haut du monde, dénote dans ce milieu masculin. Il s’en explique à Cine-Woman.
Adama est un conte qui prend racine en Afrique et s’invite dans l’histoire du monde, tout en inventant une nouvelle matière animée.
Un graphisme magnifique et un suspens haletant pour cette enquête menée par un jeune garçon, ce Phantom Boy, qui prend New York de haut!
Alors qu’ils n’étaient au départ que des personnages secondaires, les minions sont devenus si populaires qu’ils reviennent avec un film rien qu’à eux. En salle, le 8 juillet 2015. On y va?
Il n’est jamais trop tôt pour comprendre la nature et devenir écolo. La preuve avec Lili Pom et le voleur d’arbres. A découvrir dès 4 ans.
Remettre en avant l’esprit libertaire de Jacques Prévert. Voilà ce qui a guidé 13 jeunes réalisateurs, tout juste sorties des prestigieuses écoles d’animation française, pour réaliser un court-métrage de 3 minutes qui illustre un poème de Prévert de leur choix.
« En sortant de l’école » est un programme innovant qui donne une chance à de nouveaux talents et qui promeut la variété de leurs styles et de leurs univers créatifs.
« Les belles familles » joue sur l’humour, « Le gardien du phare aime trop les oiseaux » prône une palette de couleurs magnifiques, « L’école de beaux arts » un dessin japonisant et « Presque » un quasi noir et blanc, aux beaux dégradés de gris.
Les enfants se reconnaîtront sans doute plus dans l’onirique et fort coloré « En sortant de l’école », chanté par Ronan Luce, dans la chatoyante « Page d’écriture » ou dans l’ « Âne dormant » qui tâche de couleurs vive les carreaux d’un cahier d’écolier. Plus adulte, « Je suis comme je suis » se rapproche par son trait noir fin, à peine colorisé des dessins de Bretécher.
« Tant de forêt », sur un poème peu connu de Prévert, mise sur de très beaux dessins graphiques, colorés et jouant de transparence est un des plus réussis, bien que l’ensemble soit une occasion idéale de redécouvrir la prose de Prévert.
2014 – France – 42 mn
En partenariat avec Grains de Sel