Norma(le)
Abusée toute son enfance, Norma a fini par choisir d’en rire dans un seul en scène malin et libérateur, Norma(le).
Abusée toute son enfance, Norma a fini par choisir d’en rire dans un seul en scène malin et libérateur, Norma(le).
Comment filmer le mal absolu en le laissant hors champs ? En racontant le quotidien de ceux qui l’organisent, Jonathan Glazer signe avec La zone d’intérêt un film essentiel d’une puissance inouïe.
Avec Pauvres créatures, Yorgos Lanthimos signe un film baroque sur une émancipation féminine (encore ? Oui!). Fantastique ? Certes, mais la forme prime sur le fond.
Avec Iris et les hommes, Caroline Vignal revient sur les (mes)aventures amoureuses d’une quadra. Sans l’originalité, la causticité d’Antoinette dans les Cévennes. Fade.
Priscilla pour Priscilla Presley avant même qu’elle ne devienne la femme d’Elvis. Voilà le propos du huitième long métrage de Sofia Coppola, un biopic mélancolique sur une jeune fille propulsée dans un rêve qui se transforme en enfer.
Dans un seul en scène, baptisé La belle histoire, Coline Serreau revient sur sa vie et son œuvre en une série de tableaux souvent drôles, parfois trop anecdotiques.
A la suite d’un incident, une mère célibataire doit faire face aux services sociaux et aux institutions. Rien à perdre, le premier film de Delphine Deloget a connu une superbe ovation lors de sa projection à Un certain regard au Festival de Cannes 2023.
La malédiction se transmet-elle de mère en fille ? Ou peut-on briser le lien? C’est ce qu’explore Mona Achache dans le très émouvant Little girl blue, un vrai faux documentaire sur sa mère suicidée.
Trois lycéennes anglaises partent pour une semaine de fête dans une station balnéaire de Méditerranée. Au programme : sexe, drogues et alcools ! How to have sex de Molly Manning Walker qui traite des limites traumatisantes de cette débauche a reçu le prix Un Certain Regard au Festival de Cannes 2023.
Dans Comme si de rien n’était, Nadine Marcovici se confronte à l’âgisme et au sexisme à l’écran. Avec humour.
Dans Comme si de rien n’était, Nadine Marcovici se confronte à l’âgisme et au sexisme à l’écran. Avec humour.