Julieta – Cannes 2016
Avec Julieta, son 21eme long métrage, Pedro Almodovar revient au portrait de femme que la vie n’a pas épargnée, sans la folie singulière qui l’a souvent distingué.
Avec Julieta, son 21eme long métrage, Pedro Almodovar revient au portrait de femme que la vie n’a pas épargnée, sans la folie singulière qui l’a souvent distingué.
Les femmes et le 7ème art, c’est une longue histoire mal connue. Pour honorer le travail des femmes au cinema, Cine-Woman demande à toutes et à tous la liste des cinq films de femmes et des cinq rôles féminins qui les ont marqués. L’actrice et réalisatrice Margot Abascal est la première à confier ses tops 5.
Dans Je veux être actrice, un père – le réalisateur – à la fois fasciné par le désir de sa fille de devenir comédienne et apeuré par le risque de son échec, décide de la confronter à ce rêve.
Flonja Kodheli fait face à Alba Rohrwacher dans Vierge sous serment de Laura Bispuri. Mais, qui est cette jeune et talentueuse actrice albanaise parfaitement francophone? Cine-Woman vous en dit plus.
Les débuts du féminisme en France et la liberté sexuelle qui en a suivi, voilà ce que raconte, avec passion et enthousiasme, La belle saison, le 13e et formidable film de Catherine Corsini.
Avec Sur la ligne, la tchèque Andrea Sedlackova revient sur le système organisé du dopage en Tchécoslovaquie dans les années 1980. En mettant en scène deux sportives : une mère tenniswoman et sa fille, coureuse de demi-fond. Et c’est formidable!
C’est la cinquième année qu’a lieu le Festival du cinéma chinois en France. Cet événement organisé par le Centre culturel de Chine à Paris et le groupe Pathé est itinérant et se déroule du 11 mai au 30 juin 2015. De Paris à Biarritz en passant par La Réunion, il a vocation à faire découvrir les nouvelles productions chinoises. Impressionnant!
Saul Dibb signe une adaptation réussie de Suite française, le roman posthume et inachevé d’Irène Némirovsky. Et montre l’exode, l’Occupation et la guerre au féminin.
Kenneth Branagh sort Cendrillon du dessin animé et lui offre de somptueux costumes, décors et casting à défaut d’une adaptation originale.
A trois on y va! Ok, mais où ça? Justement, malgré son humour un poil ambigu, le sixième long métrage de Jérôme Bonnell reste trop sur la réserve pour nous emmener loin. Dommage !