Face à la mer
Dans Face à la mer, Ely Dagher traite de l’effondrement du Liban à travers l’histoire de Jana, une jeune femme perdue qui ignore où est son avenir. Déprimant. Le film est présenté à la 53e Quinzaine des réalisateurs.
Dans Face à la mer, Ely Dagher traite de l’effondrement du Liban à travers l’histoire de Jana, une jeune femme perdue qui ignore où est son avenir. Déprimant. Le film est présenté à la 53e Quinzaine des réalisateurs.
Co-réalisé par Julie Lecoustre et Emmanuel Marre, Rien à foutre raconte le quotidien d’une hôtesse de l’air. Le film a remporté le Prix de la Fondation gan à la diffusion lors de la 60e Semaine de la critique. Inégal.
France de Bruno Dumont dresse à la fois le portrait de la plus grande journaliste de France et de ce pays en proie au doute. Parfois brillant, mais souvent peu convaincant.
Avec Les intranquilles, Joachim Lafosse revient sur la vie quotidienne d’une famille dont le père est bipolaire. Trop descriptif pour être dérangeant et émouvant.
Dans Bergman Island, le nouveau film de Mia Hansen-Love, un couple de cinéastes ne trouve rien de mieux que de s’installer à Fårö, chez Ingmar Bergman, pour trouver écrire de leur prochain film. Dépaysant ou Inspirant ?
Un mari tue sa femme quand sa carrière bat de l’aile. Annette, leur fille, vengera-t-elle sa mère? Leos Carax esquive le sujet en l’enrobant dans la musique des Sparks. Désarmant.
Avec son deuxième film, Titane, Julia Ducournau frappe tellement fort qu’elle repart du 74e Festival de Cannes avec la récompense suprême. Elle devient ainsi la seconde réalisatrice à remporter la Palme d’or. Brillant !
Une comédie française sur l’amour dirigée par une réalisatrice? Ce sont Les amours d’Anaïs de Charline Bourgeois-Tacquet, film du 60e anniversaire de la Semaine de la Critique. Ereintant.
Dans Bigger than us, Flore Vasseur suit sept activistes de moins de 25 ans qui ont changé le(ur) monde. Pourquoi pas vous? Le film fait partie de la sélection officielle Cinema & Climat du 74e Festival de Cannes.
La civil de la réalisatrice roumaine Teodora Ana Mihai raconte le combat d’une mère pour retrouver la trace de sa fille, enlevée et séquestrée, par un cartel au Nord du Mexique. Puissant et effroyable. Ce premier long métrage est présenté en sélection officielle, Un certain Regard du 74e Festival de Cannes.