Mektoub, my love : Intermezzo
Six ans après La vie d’Adèle, palme d’or 2013, Abdellatif Kechiche revient présenter en compétition Mektoub, my love : Intermezzo, la suite du premier opus. Rien de neuf sous les boules à facettes.
Cine-Woman est au Festival de Cannes
Six ans après La vie d’Adèle, palme d’or 2013, Abdellatif Kechiche revient présenter en compétition Mektoub, my love : Intermezzo, la suite du premier opus. Rien de neuf sous les boules à facettes.
Un pianiste virtuose lutte contre la schizophrénie qui l’empêche de vivre. C’est le sujet de Solo du documentariste français Artemis Benki, sélectionné à l’Acid 2019.
En Galice au nord de l’Espagne, la nature est plus forte que la volonté de l’homme. C’est ce que montre Viendra le feu d’Olivier Laxe, un film austère mais superbe, présenté à Un certain Regard.
Luc et Jean-Pierre Dardenne reviennent pour la 8e fois en compétition au Festival de Cannes. Avec Le jeune Ahmed, ils sondent cette fois la radicalisation d’un adolescent. Le film a reçu le prix de la mise en scène du 72e Festival de Cannes.
Le seul film d’une réalisatrice en compétition à la Semaine de la Critique 2019 vient du Costa-Rica. Cendre noire de Sofia Quiros Ubeda met en exergue la beauté de la jungle. Pour le reste…
Un road-movie désabusé en Bosnie, voilà le sujet du très plaisant premier film, Take me somewhere nice de la réalisatrice Ena Sendijarevic. Il est présenté à l’Acid 2019 lors du Festival de Cannes, et sortira au cinéma le 14 juillet 2021.
Alice Odiot et Jean-Robert Viallet, tous deux documentaristes, ont obtenu l’autorisation de filmer la vie à la prison des Baumettes. Leur film, Des hommes, est sélectionné à l’Acid 2019, à Cannes.
La Queer Palm a dix ans et s’offre Virginie Ledoyen comme présidente de son jury et son premier soutien du CNC pour l’occasion. En route vers une vraie reconnaissance !
Dans Rêves de jeunesse, Alain Raoust revient sur la perte des idéaux de jeunes gens d’aujourd’hui. Démonstratif, décousu et maladroit, le film fait l’ouverture de l’Acid à Cannes le 15 mai 2019.
Avec The dead don’t die, Jim Jarmusch signe une allégorie de l’Amérique actuelle qui, de charmante au début, finit en un grand n’importe quoi. Le film est en compétition officielle au Festival de Cannes 2019 dont il a fait l’ouverture.