Pauvres créatures
Avec Pauvres créatures, Yorgos Lanthimos signe un film baroque sur une émancipation féminine (encore ? Oui!). Fantastique ? Certes, mais la forme prime sur le fond.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Avec Pauvres créatures, Yorgos Lanthimos signe un film baroque sur une émancipation féminine (encore ? Oui!). Fantastique ? Certes, mais la forme prime sur le fond.
Avec Iris et les hommes, Caroline Vignal revient sur les (mes)aventures amoureuses d’une quadra. Sans l’originalité, la causticité d’Antoinette dans les Cévennes. Fade.
Priscilla pour Priscilla Presley avant même qu’elle ne devienne la femme d’Elvis. Voilà le propos du huitième long métrage de Sofia Coppola, un biopic mélancolique sur une jeune fille propulsée dans un rêve qui se transforme en enfer.
Dans Un silence, Joachim Lafosse traite du silence complice d’une mère. Intéressant mais culpabilisant. Et si le film se trompait de coupable ?
A la suite d’un incident, une mère célibataire doit faire face aux services sociaux et aux institutions. Rien à perdre, le premier film de Delphine Deloget a connu une superbe ovation lors de sa projection à Un certain regard au Festival de Cannes 2023.
Trois lycéennes anglaises partent pour une semaine de fête dans une station balnéaire de Méditerranée. Au programme : sexe, drogues et alcools ! How to have sex de Molly Manning Walker qui traite des limites traumatisantes de cette débauche a reçu le prix Un Certain Regard au Festival de Cannes 2023.
Avec Simple comme Sylvain, Monia Chokri donne un coup de neuf à la comédie romantique. Bien écrite et bien jouée, elle interroge aussi les stéréotypes de classe et de genre avec beaucoup d’humour.
A Hollywood, durant l’âge d’or des studios, il n’y eu qu’une femme réalisatrice. Pas deux. Dorothy Arzner, une pionnière à Hollywood de Julia et Clara Kuperberg retrace son parcours et son apport au cinéma mondial. A voir le 12 novembre sur OCS.
Dans Comme si de rien n’était, Nadine Marcovici se confronte à l’âgisme et au sexisme à l’écran. Avec humour.
Dans Comme si de rien n’était, Nadine Marcovici se confronte à l’âgisme et au sexisme à l’écran. Avec humour.
Un couple amoureux n’arrive pas à avoir d’enfant. Il serait atteint du syndrome des amours passées, sujet et titre du deuxième film d’Ann Sirot et Raphaël Balboni, présenté en séance spéciale à la Semaine de la Critique 2023.