Quand on a 17 ans
Avec son 23e long métrage Quand on a 17 ans, André Techiné, 73 ans, revient sur le désir et son accomplissement à l’adolescence. Energisant.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Avec son 23e long métrage Quand on a 17 ans, André Techiné, 73 ans, revient sur le désir et son accomplissement à l’adolescence. Energisant.
Jusque dans les années 1950, au Québec, les filles s’émancipaient en musique et au couvent. C’est, du moins, ce que montre La passion d’Augustine de Léa Pool, un des rares films qui traite de cette période essentielle de la Belle Province.
Une femme seule en lutte contre le monde obscur et visqueux des assurances maladie. Voilà le propos d’Un monstre à mille têtes, le thriller social du mexicain Rodrigo Plà.
Dans son troisième film, Evolution, Lucile Hadzihalilovic interroge la maternité et questionne une nouvelle fois la féminité. A sa façon : étrange, irréelle et sans morale.
A Abidjan, les prostituées les plus cheaps sont appelées les « go ». Eliane de Latour s’intéresse à leur quotidien et leur consacre un documentaire singulier, Little go girls, un film raté.
Pourquoi cette Rosalie Blum fait-elle tant de bien? Comédie du quotidien, le premier film de Julien Rappeneau a l’effet d’un bonbon à la sève de pin. Rassurant, sans prétention, mais un peu trop nostalgique pour susciter un réel enthousiasme.
Deux ans après Hippocrate, Thomas Lilti nous prescrit une deuxième ordonnance sur la médecine française actuelle et ses problèmes, en scrutant cette fois le quotidien d’un médecin de campagne. Un film hors d’âge.
En Iran, depuis 1979, il est interdit aux femmes de chanter en solo devant un public… non exclusivement féminin. No Land’s song raconte le long combat de la compositrice Sara Najafi pour braver cet interdit.
Souvent, le cinema s’est intéressé à l’immigration vers l’Amérique. Rarement en traçant le parcours d’une jeune femme. Brooklyn de John Crowley comble avec sensibilité ce manque, brillamment interprété par Saoirse Ronan.
Dans Nahid, la jeune réalisatrice iranienne Ida Panahandeh aborde l’amour contrarié d’une femme divorcée pour un homme veuf. Un premier film subtil, très réussi.