Carré 35
Dans le Carré 35 est enterrée la sœur d’Eric Caravaca. Il ne l’a pas connue. Pourtant, il lui consacre un documentaire qui dépasse de loin l’histoire de famille.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Dans le Carré 35 est enterrée la sœur d’Eric Caravaca. Il ne l’a pas connue. Pourtant, il lui consacre un documentaire qui dépasse de loin l’histoire de famille.
Les Conquérantes de Petra Volpe tombent à point nommé. En racontant la lutte des femmes dans un petit village suisse pour obtenir le droit de vote en 1971, il rappelle la nécessité et l’urgence que nos démocraties deviennent enfin égalitaires.
En Tunisie, une jeune femme est violée par des policiers. La belle et la meute, la deuxième fiction de Kaouther Ben Hania, raconte son parcours du combattant pour faire reconnaître ses droits.
Enfin! Enfin un film sur l’accession au pouvoir des femmes dans l’entreprise et les difficultés qu’elles rencontrent pour y parvenir. Et Tonie Marshall, la réalisatrice de Numéro Une, reconnaît qu’elle est en deçà de la réalité.
La réalisatrice Kathryn Bigelow reprend sa caméra pour ressusciter une page tragique de l’histoire contemporaine des Etats-Unis : les émeutes de Détroit en 1967. Jusqu’à en faire un cas d’école. Brillant!
Une écrivain célèbre vient animer L’atelier d’écriture de jeunes en difficulté à la Ciotat. À partir de ce point de départ, Laurent Cantet brode un drôle de film entre fiction et documentaire.
Le sens de la fête, c’est aussi celui que les réalisateurs d’Eric Toledano et Olivier Nakache partagent dans tous leurs films depuis leurs débuts. Ici, ils accueillent un nouveau venu : Jean-Pierre Bacri, car sans lui, le fête est toujours moins drôle.
Comment réussir à trouver l’amour ? Pas facile, répondent Claire Denis et sa scénariste Christine Angot, si l’on n’a pas un beau soleil intérieur.
Depuis qu’il a été battu à la Présidence des États-Unis, Al Gore a fait de l’écologie et de la lutte contre le changement climatique son nouveau combat. Il le prouve à nouveau avec ce documentaire, Une suite qui dérange : le temps de l’action.
Avec The Party, la réalisatrice Sally Potter signe un petit pamphlet politique et intimiste mais pas assez bien écrit pour devenir grand. Et ce malgré un casting 5 étoiles.