How to talk to girls at parties ?
Rien que le titre – How to talk to girls at parties? – donne envie. Le nouveau film de John Cameron Mitchell ne tient pourtant pas sa promesse.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Rien que le titre – How to talk to girls at parties? – donne envie. Le nouveau film de John Cameron Mitchell ne tient pourtant pas sa promesse.
Trois jours à Quiberon de la franco-iranienne Emily Atef est un film franco-allemand était en compétition à la Berlinale 2018. C’est une audacieuse plongée dans l’ultime interview de Romy Schneider.
Consacrer un documentaire à la femme incroyable que fut Hedy Lamarr, voila le propos de Bombshell : the Hedy Lamarr story retitré Hedy Lamarr : from Extase to wifi d’Alexandra Dean, présenté au Festival2Valenciennes. Dommage qu’il n’arrive pas à la cheville de l’actrice et inventrice qu’elle a été.
Étrange film que la première réalisation de Michèle Laroque. Jusqu’à son titre Brillantissime. Est-ce une incantation ou une provocation ?
Un jeune indien riche tombe amoureux de son employée de maison. Monsieur, la première fiction de Rohena Gera, était en compétition à la Semaine de la Critique et a été primé. Sa sortie est prévue le 26 décembre 2018.
Transit de Christian Petzold, en compétition à la Berlinale 2018 , est une déception. Le premier film tourné en France par le réalisateur allemand d’habitude passionnant s’égare complètement à Marseille.
Un nouveau film d’Agnès Jaoui, est-ce toujours un événement? Place publique a un tel air de déjà vu qu’il relève plus de la redite que de la surprise. Décevant.
Le 2 mars 1953, dans la nuit, le tyran soviétique est victime une attaque cérébrale sérieuse. Est-il conscient, est-il décédé? La mort de Staline pose plus de problèmes qu’elle n’apporte de solutions. Ce que le film d’Armando Iannucci raconte avec beaucoup d’humour.
Avec Mektoub my love : canto uno, Abdellatif Kéchiche interroge le désir et l’incapacité d’y succomber. Passionnant.
Comment vivre quand on est né fille et qu’on se sent garçon? On change de corps. C’est cette métamorphose que le réalisateur Christian Sonderreger suit, quasiment pas à pas, dans son premier film Coby.