Capharnaüm
Capharnaüm de Nadine Labaki a frôlé la Palme d’or et est reparti du 71e Festival de Cannes avec le Prix du Jury. Une récompense méritée pour ce beau film sur l’enfance maltraitée au Liban.
Les films que Ciné-Woman recommande… ou pas.
Capharnaüm de Nadine Labaki a frôlé la Palme d’or et est reparti du 71e Festival de Cannes avec le Prix du Jury. Une récompense méritée pour ce beau film sur l’enfance maltraitée au Liban.
Comment se séparer sans tout détruire? En étant inventif. Voilà le sujet de L’amour flou, le film de Romane Bohringer et Philippe Rebbot qui n’a rien à voir avec la myopie.
Après 16 ans d’absence, Michel Blanc reprend sa camera, quelques personnages d’Embrassez qui vous voudrez et signe une sorte de suite terne : Voyez comme on danse.
Avec Amin, Philippe Faucon poursuit son intérêt pour les immigrés en France. Avec la même subtilité mais aussi les mêmes défauts que d’habitude.
Les frères sisters, un western avec des rôles très stéréotypés de femmes, n’a, à priori, pas grand chose à faire dans Cine-Woman. Mais Jacques Audiard est le premier réalisateur à avoir publiquement dénoncé l’absence de femmes dans les grands festivals. À leur tête et en sélection.
Troisième film que Thomas Lilti consacre à l’univers médical, Première année raconte la compétition inhumaine à laquelle se livrent les apprentis médecins. Disruptif !
La loi marocaine punit de prison les relations sexuelles hors mariages. Sofia, le premier film de Meryem Benm’ Barek aborde ce sujet à sa façon, du point de vue d’une jeune femme. Avec profondeur.
Whitney Houston, sa voix, sa beauté, la drogue et une carrière fauchée sur l’autel de la célébrité américaine. Voilà ce que raconte avec précision et méthode Whitney, le documentaire de Kevin Macdonald. En salle le 5 septembre.
La réalisatrice Marion Vernoux aime bien les têtes cabossées. Ce qu’elle prouve une nouvelle fois avec Bonhomme, une comédie dramatique séduisante sur un traumatisé crânien.