Barbara, mémoires interrompus
Barbara fut si secrète qu’on ne la connaît qu’à travers ses chansons. La compagnie Les Affinités électives a eu la belle idée d’adapter au théâtre ses mémoires inachevés, Il était un piano noir…
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Barbara fut si secrète qu’on ne la connaît qu’à travers ses chansons. La compagnie Les Affinités électives a eu la belle idée d’adapter au théâtre ses mémoires inachevés, Il était un piano noir…
Avec The Substance, Coralie Fargeat fait de la quête de l’éternelle jeunesse une surenchère gore sans limite. Jouissif mais pas très féministe. Prix du Scénario au Festival de Cannes 2024.
L’amour ouf de Gilles Lellouche oscille entre l’ode à l’ultra-violence et celle à l’amour culcul, entre un clip de rap et un film de Claude (Lelouch). En lice pour la Palme d’or.
Film posthume de Sophie Fillières, Ma vie, ma gueule raisonne comme son autoportrait testamentaire dont elle a confié l’interprétation à Agnès Jaoui. Bien vu ! C’est l’ouverture de la Quinzaine des Cinéastes 2024.
L’actrice Céline Sallette a choisi de consacrer son premier long métrage à l’artiste Niki de Saint Phalle. Bien lui en a pris. Le film, très intéressant, est présenté le 23 mai au 77e Festival de Cannes, section Un Certain Regard.
The Apprentice, le quatrième film d’Ali Abbasi, raconte l’ascension de Donald Trump bien avant qu’il ne devienne président des États-Unis. Interessant, bien joué et… perturbant. En lice pour la Palme d’or.
L’histoire de Souleymane de Boris Lojkine est celle du quotidien d’un livreur guinéen sans papiers qui tente d’en obtenir en France. Un parcours d’obstacles insensé raconté avec autant de précision de d’émotion. Ce film, fort, est présenté à un Certain Regard, dans la sélection officielle du 77e Festival de Cannes.
Le destin de trois femmes qui travaillent ensemble dans un hôpital de Mumbai. Quatrième film de réalisatrice en compétition officielle, All we imagine as light de Payal Kapadia est le plus apaisé de tous. Il a reçu le Grand Prix du 77e Festival de Cannes.
Pour sa 13e édition, le Festival De l’Ecrit à l’Ecran a, comme toujours, vu les choses en grand. A Montélimar, du 20 au 26 septembre, il y a pléthore d’invités à rencontrer, de débats à écouter et de films à découvrir.
Le procès du chien, le premier film de l’actrice Laetitia Dosch est aussi casse-gueule que gonflé. A sa façon, elle parvient à signer un pamphlet doux et drôle sur les sujets qui lui tiennent à cœur. Chapeau !